Renforcement de la coopération entre les deux aéroports dans le domaine de l’exploitation et de la formation ainsi que dans le soutien des avions du même type
De nouveaux horizons s’ouvrent aux pilotes grecs du Rafale quand on apprend que l’Air & Space Force a créé un « Topgun » français pour les pilotes du Rafale avec la création de « QWI ».
L’Armée de l’Air française, en entretenant des liens étroits avec l’US Air Force et la Royal Air Force, comme en témoignent l’exercice Atlantic Trident et notamment les opérations conjointes qu’elles ont menées, est tout comme les Forces aérospatiales françaises (AAE) ont créé un tel formation. Il a effectivement débuté le 30 mai à la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan avec quatre pilotes de Rafale (dont un de la Marine nationale) et un officier navigateur d’armes (NOSA).
Baptisée « QWI Rafale », cette formation est proposée par « l’École d’armes » de l’AAE et les centres spécialisés du Centre d’Aérien Expertise Militaire (CEAM) dans le but de « créer un réseau d’experts tactiques au sein des unités de combat ».
Ainsi, pendant six semaines « intensives », les stagiaires suivront des cours théoriques, des séances sur simulateur et, bien sûr, des vols. Cette formation a pour objectif d’expliquer, d’affiner leurs connaissances et leur maîtrise de leur système d’arme et d’approfondir les tactiques, techniques et procédures des opérations dites « top ». Finalement, ils obtiennent la qualification « QWI », qui leur donne « la crédibilité et la légitimité nécessaires pour transférer tout ce qu’ils ont appris à leur unité ».
A noter que le CEAM/AWC (Air Warfare Center/Air Warfare Center) a été formé en 2015 par la fusion du Military Aviation Experience Center et du Air Force Command (CENTAC-Air) Command Center (CF Air Force).
Celle-ci est qualifiée à l’époque par le général Denis Mercier, alors chef d’état-major de l’armée de l’air, de « grande réforme » en ce qu’elle « vise à réunir sous un même commandement tous les acteurs de l’innovation, qu’ils soient actifs, dans le domaine de l’équipement, de l’enseignement ou de l’éducation ».
Rappelles toi pentapostagmedans notre article nous évoquions : Responsables français de GEA : Nous avons été impressionnés par les pilotes grecs du Rafale – cela est dû à leur engagement opérationnel constant.
« La coopération renforcée entre la Grèce et la France vise à relever les défis de sécurité communs dans la région N/A-Méditerranée avec des missions conjointes et à promouvoir l’application du droit international », a-t-il déclaré dans une interview au programme Vertu et Courage. Ce chef de l’état-major de l’aérospatiale française, Général Stéphane Mille.
Comme il l’a dit, « l’interopérabilité de nos avions est quelque chose que nous recherchons évidemment avec les Grecs, mais aussi avec les participants au Tiger Meet en général », semble-t-il dans un avenir proche, une fois que tous les avions Rafale, ainsi que la formation des pilotes grecs, est la Participation à ce cours de formation de haut niveau pour les faucons grecs garanti.
Spécial Ce chef de l’état-major de l’aérospatiale française, Général Stéphane Millesignalé:
L’interopérabilité de nos avions est quelque chose que nous recherchons avec les Grecs, bien sûr, mais aussi avec les participants au Tiger Meet en général », alors qu’il a déclaré au niveau des pilotes grecs du Rafale : Nous avons été sincèrement impressionnés par le niveau des pilotes grecs venus en France pour se former au Rafale, je pense qu’ils le doivent dans leurs affaires courantes, ce qui leur donne un mental qui leur permet de s’adapter assez rapidement, et puis certains d’entre eux ont une grande expérience de Mirage. Cela leur a fourni une base pour s’entraîner avec le Rafale.
Cela étant dit, nous avons été vraiment impressionnés par le niveau de personnalisation de chaque pilote qui a eu l’empressement de se livrer à cette reconversion. Cela a permis une reconversion assez courte et félicitations à tous les pilotes qui y ont participé.
Il s’est concentré en particulier sur l’accord Athènes-Paris signé il y a des mois. « Je pense que l’engagement de l’armée de l’air dans les zones d’instabilité est une nécessité, que ce soit en Méditerranée ou ailleurs sur la planète. L’armée de l’air doit travailler pour assurer la stabilité dans certains domaines. Et dans ce cadre le « Il y a évidemment des missions conjointes entre les Forces aériennes françaises et grecques, un signe de force pour montrer que nous sommes présents pour l’application du droit international dans ces domaines », a-t-il souligné, ajoutant :
« Nous écoutons les appels de l’OTAN, notamment pour le renforcement des régions orientales de l’OTAN, et en particulier depuis le 24 février, l’armée de l’air française se consacre exclusivement au renforcement de la présence aérienne dans l’aile orientale de l’OTAN, principalement grâce à l’utilisation de Mirage-2000. vers les États baltes, le déploiement constant de missions Rafale, qui partent de la France et vont en opérations le long des frontières de l’OTAN, le stationnement d’avions d’appui, d’avions de commandement et de contrôle, d’avions de reconnaissance, tout cela peut donner à l’OTAN l’opportunité de s’étendre pour être plus au courant de la situation en France l’aile est ».
Au cours de la visite, les questions liées au renforcement de la coopération entre les deux compagnies aériennes, tant dans le domaine des opérations et de la formation que dans la maintenance de types d’avions similaires, ont été abordées.
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