Le frère du défunt a parlé à Mega de la chute de l’immense fortune de George Tragas.
« Je n’avais pas de relation avec mon frère. Personne ne m’a appelé, et je ne suis dans aucune relation. Ma fortune vient de ma mère, nous sommes des demi-frères. Je n’avais rien à voir avec le journalisme ou ce que faisait mon frère.
« Je ne sais pas ce qu’il a fait ni comment il a obtenu l’argent. Je savais qu’il publiait un magazine. Après son deuxième divorce, je n’avais rien à faire. La seule chose qu’il m’a dite une fois était : ‘Tu te connais, je vivra en France pendant six mois. » J’ai une maison en France. » A chaque fête, l’un d’eux prenait le téléphone et disait joyeux anniversaire.
Je n’aime pas que notre nom de famille flotte. Notre nom n’a jamais été publié. Nous sommes une famille décente de grand-père à grand-père. « Examinons-le, l’État existe, cherchons à en trouver l’origine », a-t-il déclaré.
Qui est sous le microscope de la recherche ?
Selon un rapport du Live News Show, c’est la période où de nombreuses entreprises de George Tragas ont été fondées à l’origine, puis transférées avec l’immobilier avant de contracter la dette d’autrui. Trois personnes sont passées sous le contrôle de la justice, mais il s’agit d’une enquête qui devrait prendre un certain temps pour trouver des preuves spécifiques. Car si l’autorité anti-blanchiment se contente de preuves de confiscation de biens, la partie pénale a besoin d’un examen approfondi pour que l’accusation puisse être étayée.
Les autorités ont arrêté trois personnes au cours de leur enquête initiale, dont l’épouse de George Tragas, Maria Karra, pour avoir des avoirs avec lui. Les deux autres sont un homme et une femme qui agissent en tant que représentants des sociétés fondées par George Tragas, qui ont généralement les rôles de président et de vice-président. Ce qui intriguait et focalisait les autorités, c’est que chaque fois que le défunt ou sa femme quittait une entreprise, les deux personnes désignées assumaient leurs responsabilités.
Dans les prochains jours, un contrôle financier et fiscal sera probablement d’abord réalisé soit par l’autorité spéciale de contrôle, soit par le SDOE puis les investigations seront élargies au volet pénal, puisque les infractions pénales examinées et, le cas échéant, graves les crimes et les préoccupations sont :
- chantage
- Incitation morale à l’infidélité
- Fraude
- évasion fiscale
- Non-paiement des charges à payer
La confiscation des biens de George Tragas
A noter que l’héritage du journaliste est lié à une décision de l’agence anti-argent noir.
L’autorité anti-blanchiment est parvenue à cette conclusion après un rapport de 60 pages – un clown, pour les avoirs du célèbre journaliste décédé en décembre 2021.
Sa capitale Giorgos Tragkasce que même des membres de sa famille plaident, selon des publications atteignant des dizaines de millions de dépôts bancaires et de nombreuses propriétés en Grèce et à l’étranger.
Sur la base du constat de 60 pages de l’agence, basé sur une enquête de trois mois, la voie est libre pour les poursuites car le dossier a été transmis au parquet pour enquêter sur la possibilité d’un crime, bien sûr pas contre le journaliste puisque le décès fait lui criminellement incontrôlable.
L’enquête sur la fortune incalculable de George Tragas a commencé 3 mois avant sa mort après une plainte anonyme qui a abouti à un incendie.
Celle-ci ordonne la confiscation du bien, selon les informations :
- Une grande partie de la propriété n’est pas justifiée par le revenu total déclaré en 2000.
- Des entreprises ont été identifiées par l’intermédiaire desquelles de l’argent a été échangé qui – selon les estimations de l’autorité – provenait d’activités criminelles
- Il y a enrichissement sans cause
La recherche a commencé avec Principe anti-blanchimenten septembre dernier, à la suite d’une enquête d’une banque où une transaction a été « touchée » et d’une lettre anonyme décrivant des transactions financières spécifiques
L’enquête a été améliorée après la mort de George Tragas, lorsque des données sur les dépôts bancaires et les lingots ont été publiées, ainsi que sur des biens immobiliers de plusieurs millions d’euros en Grèce, en Europe et en Amérique.
Selon l’autorité, il avait envoyé un document aux départements respectifs Angleterre, France, États-Unis, Îles Vierges et ailleurs pour en savoir plus sur les transactions et Propriété du journaliste George Tragas.
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