Ce que les jeunes travailleurs attendent de leur employeur – Financial Postman

L’argent n’est pas la seule incitation pour un jeune à choisir un travail – et ne leur disons pas trop vite qu’ils n’ont pas le choix, car de nos jours ils sont employeur Vous recherchez le « talents» avec le pistolet. De plus en plus de jeunes curieux recherchent aussi le « plaisir personnel » au travail, tout en exigeant une « voix » et une participation aux décisions, non pas bien entendu en matière administrative, mais dans celles qui touchent à l’objet de leur travailler.

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C’est ce que montre bien sûr la multiplication des recherches sur le travail dépendant en occident (nous ne parlons pas des travailleurs appauvris du Bangladesh et d’autres pays d’Asie du Sud-Est qui se rendaient dans les stades pharaoniques du Qatar pour gagner leur vie, et dont 6 500 leur viande là leur) .

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La dernière enquête a été publiée dimanche dans le journal français Le Journal du Dimanche et a été réalisée par la société BVA pour le compte de la Fondation Jean Jaurès et de la compagnie d’assurance Macif auprès d’environ 1 000 jeunes actifs âgés de 18 à 24 ans. A la question centrale « Quelles sont selon vous les principales tâches d’une entreprise », la majorité (51%) a répondu « Créer des emplois et embaucher des salariés ».

respect et initiative

Principalement pour la survie, et ce n’est pas une surprise. Mais 40 % des personnes interrogées affirment que l’objectif de l’entreprise moderne est de « donner à ses employés les moyens de se développer professionnellement ». Sauf que selon les jeunes, les entreprises modernes n’ont pas tous les ingrédients pour « s’épanouir » en tant qu’employés.

« Les jeunes stigmatisent la réticence mondiale de l’employeur à écouter le salarié et à accepter une implication plus active et responsable de sa part dans la mise en place d’un projet », explique Jérémy Peltier au journal, directeur général de la Jean Fondation Jaurès. « Ce sont des éléments fondamentaux de satisfaction professionnelle que les jeunes recherchent dans un emploi qui leur est proposé », explique le dirigeant français.

Selon l’enquête, plus d’un tiers des répondants (36% pour être précis) estiment que leur employeur « ne leur offre pas suffisamment d’espace pour se faire entendre et ne valorise pas leur volonté et leur volonté de s’impliquer de manière active et créative dans les affaires ». pourcentage très élevé de 29% des jeunes critiquent la direction de l’entreprise où ils travaillent pour « le manque de confiance et d’autonomie dont ils font preuve envers les salariés ».

Environnement de travail et général

Pour 31 % des 18-24 ans interrogés, le manager idéal est celui qui « crée un environnement de travail satisfaisant ». Cependant, il existe des différences dans la perception des éléments qui composent un « environnement de travail satisfaisant ».

Un élément intéressant de la recherche est que la majorité relative des répondants (38%) sont en désaccord avec certaines nouvelles croyances et pratiques de travail, telles que le « flex office », le lieu de travail flexible qui a été introduit principalement en raison de la pandémie. A l’inverse, 32% ne veulent toujours pas se passer du télétravail ponctuel certains jours de la semaine.

De plus, les recherches montrent que les jeunes veulent que leur entreprise s’implique dans des causes sociales. A la question principale sur le « rôle de l’entreprise », une très forte proportion de 38% a également répondu que la direction devrait (également) se préoccuper du fait que l’entreprise « bénéficie à la société ».

Qu’entendent les jeunes par « utilité à la société » ? D’abord avec l’engagement de l’entreprise dans les initiatives et actions environnementales (c’est ce que pensent 37% des répondants). Deuxièmement, défendre et protéger le pouvoir d’achat des consommateurs (25 %). Une entreprise est également considérée comme « socialement utile » si, dans le cadre de ses possibilités et de sa responsabilité, elle lutte contre les inégalités entre les hommes et les femmes (23 %) et promeut les jeunes (22 %).

En tout cas, les principales attentes de la nouvelle génération d’employeurs restent intactes : « créer et offrir des emplois bien rémunérés ».

Thibault Tremble

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