Sur la « ligne de Rome » Grèce, Chypre et Malte

Dans l’approfondissement de la « controverse » des derniers jours entre Italie et de France pour l’immigration, qui renforce les situations désespérées et l’odyssée vécue des réfugiés et des migrants dans le contexte Politique anti-immigration de l’UEElle se précipite pour rejoindre et Gouvernement grecco-signature annonce conjointe avec ses gouvernements Italieelle Malte et tu Chypre.

Les pays en question forment 4 des 5 pays de la soi-disant « Med5″étant donné que le texte n’a pas été signé par l’Espagne, qui participe également au groupe informel susmentionné des « pays de premier accueil » de l’UE.

On se souvient qu’il a été enregistré ces derniers jours affrontement intense entre l’Italie et la France, suite à la décision de Rome de ne pas autoriser les migrants et les réfugiés d’Afrique secourus par les navires des ONG en Méditerranée à débarquer dans les ports italiens. Le gouvernement italien demande aux ONG d’amener les migrants dans les pays auxquels appartiennent leurs navires, ce qui est arrivé à cela bateau viking océanique, qui, après le « blocus » en Italie, a finalement accosté en France, provoquant des réactions violentes et des représailles de Paris.

Dans leur déclaration commune, les Gouvernements grec, maltais, italien et chyprioteAprès avoir initialement réaffirmé que les quatre pays « devraient assumer la charge maximale de la gestion des flux migratoires en Méditerranée » et « se conformer pleinement à toutes les obligations internationales et aux réglementations de l’UE », ils soulignent que malgré l’accord de compromis pour une « réinstallation temporaire et volontaire » dans l’UE « représente le nombre d’offres de relocalisation des États membres participants comme étant une très petite fraction du nombre réel d’entrants illégaux que nous avons reçus jusqu’à présent cette année », entraînant « seulement un petit nombre de migrations ».

Soutenant la position du gouvernement italien d’imposer une nouvelle odyssée aux migrants et réfugiés secourus par des navires en Méditerranée, qui, selon Rome, devraient être adressées aux pays de leur pavillon, la déclaration se lit comme suit : « Nous ne pouvons pas soutenir l’idée que les pays de premier accueil sont les seules destinations européennes possibles pour les migrants en situation irrégulière, surtout si cela se fait de manière non coordonnée, sur la base d’un Sélection de navires privés qui agissent en totale autonomie vis-à-vis des autorités étatiques compétentes. Nous réitérons notre position selon laquelle la manière dont ces navires privés opèrent est incompatible avec l’esprit du cadre juridique international des opérations de recherche et de sauvetage, qui doit être respecté. Chaque État doit effectivement exercer sa juridiction et son contrôle sur les navires battant son pavillon. »

Ayant « oublié » que les « règles de l’UE » co-décidées à Bruxelles prescrivent l’hébergement des réfugiés et des migrants loin de leur pays de destination, les quatre gouvernements déclarent que « tout en respectant pleinement les responsabilités des États côtiers en vertu du droit international, nous croyons qu’une discussion sérieuse sur une meilleure coordination de ces opérations en Méditerranée est urgente et nécessaire, notamment en veillant à ce que tous ces navires privés respectent les conventions internationales pertinentes et autres réglementations applicables et que tous les États acceptent la responsabilité conformément à leurs obligations internationales ».

Ils demandent à la Commission et à la présidence du Conseil européen d’engager ce nouvel accord.

Thibault Tremble

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