Premier ministre britannique Liz Truss, et le président de la France, Emmanuel Macronils avaient les premiers quatre par quatre en marge de l’Assemblée générale des Nations unies à New York, deux semaines après l’entrée en fonction de Truss.
« Il y a une volonté d’aller de l’avant, de montrer que nous sommes alliés et amis dans un monde compliqué » a déclaré le président français à l’issue de la rencontre, ajoutant que les entretiens avec le Premier ministre britannique avaient porté sur un large éventail de sujets, dont l’évolution de la guerre en Ukraine.
La partie britannique a souligné que les deux chefs d’Etat étaient attachés à ce améliorer la coopération énergétique entre leurs pays.
« Notre peuple fait face à un hiver difficile avec une grande incertitude en termes d’approvisionnement énergétique et de coût de la vie, Premier ministre [Τρας] et le président Macron ont souligné l’importance de travailler ensemble pour mettre fin à la dépendance à l’énergie russe et renforcer la sécurité énergétique », a déclaré un porte-parole de Downing Street.
« Nous devons continuer à montrer à Poutine que son chantage économique – par le biais de l’énergie et de la nourriture – ne réussira pas », a-t-il ajouté.
Liz Truss, alors candidate à la direction conservatrice et Premier ministre, a collecté l’argent fin août réponse nette par Emmanuel Macron quand il a évité de donner une réponse claire à la question si le président français est « ami ou ennemi ».
Lorsqu’on a demandé à Truss lors d’un événement de campagne si Macron était « ami ou ennemi », elle a décidé de lancer la balle sur le podium. « Le jury est toujours dehors » répondit-il, provoquant des rires dans la salle. « Si je deviens Premier ministre, je le jugerai sur ses actes, pas sur ses paroles », a-t-elle ajouté, sans expliquer davantage les raisons de son attitude tumultueuse.
Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il dirait si on lui posait la même question, Emmanuel Macron a répondu : « Je n’hésiterais pas une minute. La France est l’amie du peuple britannique. »
Si la France et la Grande-Bretagne « ne peuvent pas dire si elles sont amies ou ennemies – et ce n’est pas un terme neutre – alors nous nous dirigeons vers de graves problèmes », a souligné le président français.
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