— C’est bien ce que font les citoyens sur les plages avec la récupération des espaces ouverts, mais il y a aussi des réactions. Pourquoi;
Quelles réactions ?
— Que nous avons des problèmes plus graves à affronter et que nous courons sur les plages en faisant du bruit.
Je comprends. Whataboutisme typique.
– Oui, mais puisque ce qui se passe est juste, pourquoi le peuple se lève-t-il maintenant ? La loi est-elle si vague qu’elle est en vigueur depuis tant d’années et qu’aucun nez n’est ouvert ?
Le monde est aujourd’hui en ébullition car la tolérance a apparemment ses limites. La loi n’est pas vague. Les intentions de ceux qui étaient sceptiques quant à l’expansion des hommes d’affaires n’étaient pas claires.
« S’il y a un accident, si le bar de la plage ou l’hôtel brûle, s’il y a une alerte au tsunami, tout le monde devrait pouvoir quitter les lieux de l’accident en toute sécurité sans être blessé ni perdre la vie, trouver un abri sur d’innombrables chaises longues et se mettre à l’ombre. » maisons » et ainsi de suite.
— De quelle loi parlons-nous et où dit-il que l’utilisation de la plage est interdite ?
La loi est 2971/2001 et l’utilisation de la plage est détaillée à l’article 4 : « La construction de bâtiments et, en général, l’implantation de structures sur la plage, sur la plage, sur le rivage, dans la zone côtière, sur l’élément eau et sur le sol. » et le sous-sol des fonds marins, des lagons, des lacs et des rivières navigables. Exceptionnellement, la réalisation de projets n’est autorisée que pour poursuivre les finalités prévues par la présente loi et faciliter l’accès à ces espaces aux personnes ayant des besoins particuliers (PH). S’il existe un terrain privé entre la côte et une voie publique au sens des articles 2, 3 et 4 de la loi 3155/1955 (A’ 63) et de l’article 1 du PD 347/1993 (Α΄146), il doit être en conformément à la législation en matière d’urbanisme, un passage dégagé doit être prévu pour un accès libre et sûr à la plage depuis la voie publique.
– Oui oui. Les entreprises ne peuvent pas placer ce type d’équipement sur les plages, mais les citoyens le peuvent. Est-ce de cela dont nous parlons ?
Non, nous ne parlons pas de ça. Le citoyen mettra un parasol sur la plage, sans parler de deux chaises longues. Y arrivera-t-il un jour ? Deux; Un mois? Il ne construira pas de huttes, de toits de gaze ou de maisons pour les indigènes. Et il ne lui imposera certainement pas un fardeau comme s’il n’y avait pas de lendemain. Alors non, nous ne parlons pas de ça. Nous discutons depuis des années de l’exploitation de la plage, des visiteurs et des touristes sans que personne ne se soucie de la loi et des conséquences de sa violation.
— Eh bien : à quoi correspond l’espace pour les entrepreneurs et où peuvent-ils étendre leur… activité ?
Selon la même loi, ils peuvent utiliser jusqu’à 60 % de l’espace accordé, mais d’une manière qui n’empêche pas tout citoyen libre d’accéder et de sortir de la plage. Plus précisément : « La construction de parasols, de transats et d’installations de loisirs nautiques conformément à l’article 13, paragraphes 4 et 5 de la loi 2971/2001, selon le cas, peut inclure jusqu’à soixante pour cent (60 %) de l’espace alloué pour garantir que l’accès du public est vertical et parallèle à la mer et il existe une zone dégagée à partir de la côte d’au moins cinq (5) mètres de large.
Et de plus : « Dans tous les cas, au moins cinquante pour cent (50 %) de sa superficie totale doit rester une zone de plage libre, en fonction des caractéristiques de qualité de la plage, sans compter la zone inaccessible et inutilisable et avec les restrictions, en . » en ce qui concerne le pourcentage de couverture des plages spécifié dans la décision de concession.
– Donc?
Cela signifie que si un accident se produit, si le bar de la plage ou l’hôtel brûle, s’il y a une alerte au tsunami, tout le monde devrait pouvoir quitter les lieux de l’accident en toute sécurité sans être blessé ni perdre la vie et sans trouver un talus dans d’innombrables chaises longues, parasols. , « maisons » et ainsi de suite. De plus, si quelqu’un a besoin d’aide, les premiers secours doivent pouvoir atteindre les lieux de l’accident. Des choses simples.
— Bientôt tu parleras aussi du bruit ou tu diras que la musique te dérange…
Les battes en bois sont interdites sur les plages de Kavouriou et Maltsinioti – sur la base d’un règlement de 2006 – et les contrevenants sont punis d’une amende de 1 000 euros. Un panneau correspondant a été placé à l’entrée de chaque plage d’Athènes, indiquant à la fois l’interdiction et le montant de la pénalité.
Dans la commune de Voulas-Varis-Vouliagmeni, la mesure spécifique est en vigueur depuis 2006 sur trois plages d’une zone résidentielle. En ce qui concerne la musique, sur la base de la loi susmentionnée et conformément à cette loi, il ne peut y avoir de système de sonorisation sur les plages, même pour le plaisir.
– S’il te plaît;!
La réglementation est claire : « Il est interdit d’installer des systèmes de sonorisation dans l’espace public. » Le niveau de bruit provoqué par la musique ou les usages liés à l’activité principale ne doit pas dépasser 50 décibels en tout point de la zone agréée. Surtout dans les zones résidentielles, il faut « jouer » un décibelmètre. Sinon, et si vous avez envie d’explorer les limites de la légalité et du volume, il existe d’innombrables applications gratuites dans les Google App Stores.
— Il est temps de punir les enfants qui crient sur les plages !
…
– Et où peut-on trouver et lire cette loi pour savoir ce qui lui arrive ?
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