Selon une analyse d’Eurobank, la Grèce est moins touchée par une énergie coûteuse et des taux d’intérêt élevés et connaît une forte consommation et des investissements, tandis que le tourisme et la construction jouent un rôle de premier plan.
L’économie grecque résiste mieux à la hausse des coûts de l’énergie et aux taux d’intérêt élevés que les autres économies de la zone euro, a souligné la Commission. Eurobanque, Grâce à sa forte consommation et à ses investissements fixes élevés, elle surpasse la zone euro, les secteurs du tourisme et de la construction jouant un rôle de premier plan.
En même temps le cours est très bon tourisme et en général, le secteur des services, mais aussi la consommation, contribuent à ce tableau positif, même si les analystes soulignent que les récentes catastrophes et les coûts élevés de leur reconstruction auront un impact sur le développement général.
Comme le montrent les comptes nationaux de l’Autorité statistique grecque (ELSTAT), le l’économie grecque, Après le fort choc du premier confinement dû à la pandémie, elle est dans une phase de reprise et d’expansion. Au second semestre 2021, il est revenu aux niveaux d’avant la pandémie en termes de produit intérieur brut (PIB) réel trimestriel, tandis qu’à partir du premier trimestre 2022, il a dépassé la zone euro (voir graphiques 1.1 et 1.2).
En détail ce dernier La croissance cumulée en Grèce a été de 6,1% sur six trimestres., nettement supérieure à la valeur correspondante dans la zone euro (1,9%), en Allemagne (0,8%), en France (1,3%) et en Italie (1,7%). Ainsi, le taux de croissance réel trimestriel moyen du premier trimestre 2022 au deuxième trimestre 2023 était de 1,0 % en Grèce, 0,3 % dans la zone euro, 0,1 % en Allemagne, 0,2 % en France et 0,3 % en Italie.
Sous le Perspective de la demande, c’est-à-dire que si l’on mesure le PIB réel en termes de dépenses des ménages, des entreprises, du gouvernement et des entités correspondantes à l’étranger, la surperformance de l’économie grecque par rapport à la zone euro est principalement due à la composante consommation privée, c’est-à-dire à la composante avec la proportion de loin la plus élevée du PIB grec, suivie par la composante investissement fixe. Comme le montre le tableau 1, la croissance de la consommation privée en Grèce était de 6,1 % au deuxième trimestre 2023 par rapport au quatrième trimestre 2021, tandis que les augmentations correspondantes dans la zone euro, en Allemagne, en France et en Italie étaient de 1,9 %. 0,8%, 1,3% et 1,7% respectivement.
Quant à elle Investissements en capital fixec’est-à-dire la variable qui renforce la demande actuelle et élargit le potentiel productif de l’économie dans le futur, sa croissance cumulée en Grèce a été de 13,9% (principalement le logement et la construction, le matériel de transport apportant également une contribution positive), contre 1,6 % % dans la zone euro, 2,3% en Allemagne, 3,1% en France et 4,5% en Italie.
A la lumière d’elle production, c’est-à-dire que si l’on mesure le PIB réel par la valeur ajoutée générée par les secteurs économiques, la surperformance de la Grèce par rapport à la zone euro vient de la construction, de l’hébergement et de la restauration, des services d’information et de communication, des services professionnels, scientifiques et techniques, des services administratifs et de soutien. activités et services d’arts, de divertissement et de divertissement. Comme le montre le tableau 2, la valeur ajoutée brute dans le secteur de la construction en Grèce était 47,1 % plus élevée au deuxième trimestre 2023 qu’au quatrième trimestre 2021 (contre 1,4 %, -1,2 %, -1,5 % et 2,7 %). % dans la zone euro, en Allemagne, en France et en Italie).
Croissance cumulée élevée en termes de valeur ajoutée générée Les secteurs des activités professionnelles, scientifiques, techniques, administratives et de support (22,8% contre 3,9% dans la zone euro, y compris les services liés à la construction et au tourisme), des arts, du spectacle et du spectacle ont également été présentés (17,9% contre 10,4% dans la zone euro). . ) et l’information et la communication (15,2% contre 6,7% dans la zone euro).
Sur la base des résultats ci-dessus, on peut affirmer que jusqu’au deuxième trimestre 2023 les perturbations causées par la crise énergétique et la hausse des taux d’intérêt ont eu un impact négatif plus important sur l’économie de la zone euro que celle de la Grèce par rapport au taux de croissance réel. L’économie grecque se développera mieux que la zone euro à partir du premier trimestre 2022, la consommation privée et les investissements fixes stimulant considérablement la demande intérieure, mais entraînant des déficits élevés de la balance extérieure.
Ces bénéfices reposent dans une certaine mesure sur les mesures de soutien du gouvernement, l’augmentation de l’emploi (et des salaires nominaux), l’amélioration du climat économique, les ressources du Fonds de relance et de résilience (RESF), l’expansion du crédit de la politique monétaire intérieure. fonds et institutions financières aux entreprises et amélioration de la fiabilité de l’économie grecque (investment grade).
Dans Au niveau de la succursale La construction, le tourisme et d’autres services entraînent une croissance de la production et des revenus. Néanmoins, la légère stagnation de l’économie de la zone euro au cours des trois derniers trimestres, la politique monétaire et budgétaire restrictive et les récentes catastrophes naturelles présentent des risques baissiers pour les trimestres à venir.
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