Près de dix jours après la disparition du petit Emile, un garçon de seulement 2,5 ans, en Provence, en France, l’inquiétude du public atteint son apogée alors que les souvenirs d’autres cas douloureux d’enfants disparus qui n’ont jamais été résolus sont ravivés.
Le garçon blond a disparu de la surface de la terre samedi 8 juillet. Depuis lundi 17 juillet, l’enquête est devenue une enquête préliminaire, comme le prévoit la loi française.
L’enfant était arrivé au Vernet passer les vacances chez ses grands-parents. Il a été vu pour la dernière fois vers 18 heures le 8 juillet. Deux personnes ont vu l’enfant descendre une colline. À partir de ce moment-là, toute trace de lui a été perdue.
Dès le premier instant Toute information est demandée sur Emil et sa disparition.
La mobilisation initiale pour le petit garçon était sans précédent : 800 policiers, gendarmes et bénévoles Avec des chiens policiers, mais aussi des caméras thermiques, des détecteurs de métaux et des avions – hélicoptères et avions sans pilote (drones) – ils ont passé au peigne fin la plus grande zone forestière.
Au cours de l’enquête, tout ce qui a été entendu était un message enregistré avec la voix de la mère d’Emil l’invitant à sortir de sa cachette.
Après quatre jours de recherches exhaustives qui se sont avérées infructueuses, les procureurs ont décidé qu’il était temps de changer le cours de la recherche d’Emil. Le deuxième volet de l’enquête envisage de bloquer le petit village d’environ 125 habitants et de mettre « duvet et plumes » sur toutes les maisons. Aucun des habitants et des visiteurs du village le jour où Emil a disparu ne lui a permis de quitter le village.
La mère religieuse et le père autoritaire d’extrême droite
Dans ce contexte, où aucun scénario ne peut être exclu, un message est posté dans un groupe Facebook et Attribué à la mère d’Emilsuscite de vives inquiétudes.
Le message appelle à la prière pour qu’Emil soit retrouvé.
Le petit Emil et le message sont attribués à sa mère et diffusés sur les réseaux sociaux.
« Priez Benoit Ranquerel », disait le message. Elle est une religieuse catholique du XVIIe siècle connue pour ses talents de divination pour résoudre des énigmes. L’élément troublant de la nouvelle se trouve dans l’étrange phrase attribuée à la mère : « Le diable l’emmenait régulièrement dans les montagnes pour le poursuivre, mais les anges l’ont ramené. »
Le profil de la famille du petit garçon est complété par des informations sur la mère religieuse ainsi que sur le père d’extrême droite.
Comme le rapporte un article du Midi Libre du jeudi 13 juillet, son père s’est également impliqué dans la recherche d’Emil. Un autre homme présent a donné une description intéressante : « Il était très bien habillé, ce qui nous a un peu surpris. Il portait un col roulé et un pantalon. Il était très autoritaire et élevait facilement la voix pour réprimander les gens qu’il pensait se conduire mal. Cela a surpris tout le monde. « Alors que j’ai vu le grand-père du petit pleurer, c’était très émouvant », a déclaré le bénévole.
Selon le rapport, Colomban Soleil, la trentaine, est ingénieur en mécanique et est originaire des Yvelines, tandis que lui et sa femme Marie Ventovigny, la mère d’Emile, vivaient à Marseille, où Colomban a étudié à l’école polytechnique de la ville. Ils se sont récemment installés dans la petite communauté de Buyandis, où vivent les parents de Marie.
Les parents d’Émile
Selon les informations, le jeune père, qui selon des témoins était autoritaire, était membre de l’organisation d’extrême droite Action française et aussi du groupe néo-fasciste Bastion social Marseille, dissous en 2019.
En 2018, Colomban a été accusé d’avoir agressé un couple d’origine nord-africaine dans la ville d’Ex. Le tribunal l’a acquitté des charges en raison de doutes. Plus récemment, le père d’Emil s’est imposé comme un partisan du candidat d’extrême droite aux élections régionales soutenues par Eric Zemur.
Les informations ci-dessus amènent certains médias français à conclure que les parents d’Emile pourraient tous deux avoir un casier judiciaire en raison de leurs activités extrémistes.
« Que se passe-t-il derrière les volets ? Quelqu’un sait quelque chose ?
Un autre aspect pour le moins étrangement commenté est le fait que la loi du silence a été imposée à la petite entreprise par Verne.
Bien que l’intérêt soit grand et que de nombreux journalistes de Paris et d’autres grandes villes s’y soient rendus pour comprendre ce qui est arrivé au petit Emile, personne ne parle alors que tous les commerces restent fermés sur ordre du maire.
La journaliste de BFMtv, Dominique Rize, spécialisée dans les reportages policiers et judiciaires, clame : « Nous sommes exclus. » Je ne pense pas que ce soit une bonne chose. On se demande s’ils ont quelque chose à cacher ? Pourquoi ne pouvons-nous pas accéder à cet endroit ? Que se passe-t-il derrière les volets ? Quelqu’un sait quelque chose ?
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