Internationalisation et mur du droit international dans la folie néo-ottomane d’Erdogan

Un « amok » turc contre la Grèce dégénère depuis Ankara au plus haut niveau.

Par Pénélope Galliou

La Grèce continue de déconstruire chaque absurdité et revendication inexistante turque, fidèle au droit international et au droit de la mer, mais poursuit également la stratégie d’informer nos partenaires et alliés de l’escalade de la provocation turque.

Un « Amok » turc contre la Grèceς qu’Ankara escalade continuellement au plus haut niveau jour après jour.

Le crescendo de l’agression est une fois de plus mené par Tayyip Erdogan, qui, dans un discours devant une organisation du parti dans la province de Kiziljahamam et dans le but de gagner le public interne du parti, est allé jusqu’à contester directement la souveraineté des îles grecques par la catastrophe provoqué et menace de jeter les Grecs à la mer !

«Notre chemin aujourd’hui comme par le passé est ᾽᾽l’indépendance ou la mort᾽᾽! atteindra les objectifs de 2023 et se rapprochera de la vision de 2053a déclaré le président turc.

Dans son nouveau délire contre la Grèce, il inclut à nouveau la « Grande Turquie » et remet en cause la souveraineté des îles grecques.

Il s’est également retourné contre les partenaires et alliés de la Grèce en n’acceptant pas le soutien qu’ils apportent à notre pays et en les accusant de rompre leurs promesses au fil du temps.

«Ceux qui accusent à tort notre pays de ne pas tenir ses promesses ont couronné ceux qui commettent des actes illégaux. Il existe d’innombrables exemples de promesses non tenues, depuis les frontières du « serment national », les îles de la mer Égée, la réintégration de la France et de la Grèce dans l’OTAN, jusqu’à l’adhésion des Chypriotes grecs à l’UE. Ce n’est pas tenir les promesses faitesEn fin de compte, il était mécontent de l’environnement international.

Cela fait suite au message accablant du ministre des Affaires étrangères Nikos Dendias à Ankara lors de son discours à l’Assemblée générale annuelle de l’ESB du Péloponnèse, dans lequel il a clairement indiqué que la Grèce est prête et forte pour défendre ses droits nationaux et sa souveraineté nationale à tous égards.

Le ministre des affaires étrangères a de nouveau déconstruit l’argument turc et les revendications inexistantes d’Ankara, invoquant le droit international et le droit de la mer, que le voisin ignore, notant que les positions turques ne résistent pas à la critique et sont l’expression d’une renaissance. essaie d’obtenir son chemin en menaçant son pouvoir contre ses voisins.

Il a même dit à la Turquie que « la politique des artilleurs, la politique de Soliman le Magnifique en Méditerranée » – comme il le dit si bien – appartient à une toute autre époque.

Cependant, le ministre des Affaires étrangères n’a exprimé aucun optimisme quant à un changement ou à une amélioration de la position de la Turquie, au lieu de cela – suivant la tactique grecque – s’est retourné contre l’absurdité turque d’envoyer un message clair de préparation au pouvoir de notre pays, qui est basé sur le droit international et la forces armées, dans la défense de nos droits souverains.

Dans tous les cas, la Grèce continuera à suivre les rails du droit international et du droit de la mer, tout en intensifiant le marathon d’information et d’internationalisation de la provocation et du crime turcs à chaque occasion et étape internationale qui est donnée au pays.

Dans ce contexte, les dates les plus importantes pour l’avenir proche sont le 10 juin, lorsque le chancelier allemand Olaf Solz se rendra dans notre pays et rencontrera le Premier ministre grec, après que l’Allemagne se soit éloignée de la politique d’égalité des distances avec la Turquie grecque, en faveur de la Grèce postes. Cela a également été précédé par la visite de la ministre allemande des Affaires étrangères Analena Berbok à Athènes le 8 juin, qui aura lieu immédiatement après à Ankara.

La prochaine étape est le sommet des dirigeants européens les 23 et 24 juin à Bruxelles, où la Turquie, si elle ne change pas de comportement, sera à l’ordre du jour officiel du sommet, tandis qu’à la fin du mois les yeux se tourneront vers Sommet de l’Otan à Madrid du 28 au 30 juin Kyriakos Mitsotakis, Tayyip Erdogan, Joe Biden et Emanuel Macron cohabiteront.

Onfroi Severin

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