manifestation L’événement qui se déroule samedi à Paris à la demande de plusieurs organisations « de soutien au peuple palestinien » sera interdit, a annoncé aujourd’hui le préfet de police Laurent Nunies.
« Pas est un démonstration statique, (Les manifestants) vont parcourir Paris, ce qui est de plus en plus dangereux », a déclaré Nunes à la radio France Info.
« Et les organisations qui ont fait cette déclaration pourraient suggérer, avec les commentaires qu’elles ont pu faire, qu’elles pourraient également soutenir le Hamas, et c’est pourquoi j’interdirai cette manifestation », a-t-il noté.
Urgence Palestine, composée de diverses associations, syndicats et organisations politiques, a appelé à une « grande manifestation de soutien au peuple palestinien » dans le centre de la capitale française samedi soir, selon son site internet.
Le 18 octobre, le Conseil d’Etat a rappelé au gouvernement que manifestations pro-palestiniennes Ils ne peuvent pas être systématiquement interdits et il appartient aux seuls préfets d’apprécier s’il existe un risque de trouble à l’ordre public sur place.
« Il ne doit y avoir aucun trouble à l’ordre public. » Tangibilité. Le simple fait qu’il puisse y avoir des déclarations sur les négationnistes (de l’Holocauste), l’antisémitisme ou le soutien au terrorisme nous pose un problème et justifie ces interdictions », a déclaré le chef de la police.
Jeudi dernier, une manifestation pro-palestinienne a pu avoir lieu place de la République à Paris, où, selon la police, se sont rassemblées environ 15 000 personnes, qui ont procédé à dix arrestations, principalement en raison de propos et de slogans antisémites au Statue de la République.
Selon le préfet de police, il y a eu 189 attentats antisémites à Paris depuis le 7 octobre, à la suite desquels les autorités ont procédé à 73 arrestations, 50 détentions provisoires et détention administrative de 25 étrangers sans papiers.
Le 7 octobre, ses terroristes Hamas a envahi le sud d’Israël depuis la bande de Gaza et a déclenché une attaque sanglante contre des civils. En représailles, Israël a déclaré la guerre pour « détruire » le Hamas et attaquer sans relâche la bande de Gaza.
Selon les autorités israéliennes, l’attaque du Hamas en Israël a fait plus de 1 400 morts et plus de 200 personnes kidnappées et retenues en otages. Selon le ministère de la Santé du Hamas, 7 028 Palestiniens, pour la plupart des civils, ont été tués depuis le début des bombardements israéliens sur la bande de Gaza, le 7 octobre.
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