Des luttes industrielles pleines d’espoir en Europe

Contre l’escalade des tentatives de terroriser les genscontre les appels des gouvernements et des autorités municipales à… « faire des doubles sauts » pour sortir de « l’hiver difficile », contre les appels à… « se diriger » au nom de « gagner la stabilité économique et fiscale » qui sont en cours Grèves et d’autres mobilisations militantes des travailleurs à travers l’Europe envoient un signal d’espoir que les gens ne sont plus disposés à se serrer la ceinture pour permettre aux monopoles de surmonter la nouvelle crise économique annoncée et les conséquences de l’intensification de la concurrence.

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Ces derniers jours, ils ont incontestablement excellé la grève de plusieurs jours des travailleurs des raffineries françaises et la grève coordonnée de mardi dernier.

Dans le même temps, cependant, le « billet de grève » est serré à travers l’Europe : en Grande-Bretagne, entre autres, les cheminots ont annoncé trois nouvelles grèves en novembre, qui s’opposent également à la nouvelle loi antigrève pour les « services à garantie minimale dans les transports ». » par le gouvernement présenté hier (l’attaque anti-ouvrière ne connaît pas de répit, pas même le jour de la démission du Premier ministre…).

Des dizaines de milliers d’employés de Royal Mail sont également en grève de 24 heures, les enseignants se préparent à voter pour une grève nationale pour la première fois depuis 2008, les agents de santé préparent des votes similaires, tandis que les chauffeurs de la grande entreprise GXO Logistics sont au travail Grève pendant 5 jours » qui alimente une grande partie du focus.

Aux Pays-Bas, les chauffeurs de bus régionaux sont en grève depuis trois jours pour réclamer une meilleure convention collective, dans le secteur aérien, les agents de sécurité de l’aéroport de Charleroi – le deuxième du pays – sont en grève et en Allemagne, les pilotes continuent « Eurowings », une filiale de « Lufthansa », est en grève. Et en Hongrie, des mobilisations de masse sont menées par les enseignants avec le soutien des parents et des élèves.

Le dénominateur commun est la lutte pour des augmentations salariales substantielles malgré une précision énorme, la lutte pour des conditions de travail décentes, contre la « flexibilité » et l’intensification du travail qui a suivi pendant la période de confinement, mais aussi pendant la période de « réchauffement », avec les premières victimes étaient des travailleurs des « secteurs de première ligne » dans les transports, l’énergie, l’alimentation, la santé, ceux qui ont été salués comme des « héros » mais ont intensifié leur exploitation.

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Surtout la bataille de grève en France, Avec la massivité et la longue durée de la lutte dans la branche stratégique des raffineries, mais aussi avec la large solidarité qui s’est exprimée, elle se prête à de nombreuses conclusions. Cela montre également un grand potentiel pour les travailleurs d’autres pays, malgré les efforts du personnel civil pour montrer tout ce qui est « scandaleux ».

Contre la notoire « automatisation sociale », ils ont essayé de cultiver le gouvernement et les grandes entreprises en parlant de « travailleurs confortables » qui « ne peuvent pas bloquer le pays » – nous avons une telle « dose » des rapports dans notre pays aussi de la ville obtenir des médias sur « images de chaos et de désespoir » dans les stations-service françaises – le pouvoir de la solidarité ouvrière a été une fois de plus confirmé.

Face à la répression étatique et aux ordres de mobilisation de grève du gouvernement Macron (du… « pôle progressiste » qui « a gagné l’extrême droite »), la lutte s’est étendue à d’autres secteurs, culminant mardi dernier avec la grande grève dans les ports, les chemins de fer, les masses. transit, logistique, commerce, etc. avec plus de 150 assemblées à travers le pays axées sur la défense du droit de grève.

En conséquence, contre le sale rôle bien connu du paternalisme ouvrier, qui a tenté de calomnier la grève dans les raffineries – comme une « grève préventive » dont « nous n’avons pas besoin », dont le président de la Confédération européenne des syndicats (ETS) – et pendant sa durée à signer des contrats avec les monopoles industriels se sont précipités avec des « augmentations » bien inférieures à l’inflation, la lutte des grèves et des solidarités larges, les « dialogues sociaux » se sont effondrés, les besoins des travailleurs avant « l’endurance » ont fait passer les profits des monopoles , qui nagent dans des océans de rentabilité, notamment dans le secteur de l’énergie.

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Les images caractéristiques des assemblées et des gardesavec les gendarmes… pousser des patrouilleurs en panne d’essence a été l’un des moments les plus marquants de la grève en France, qui a pris le pouvoir des ouvriers, qui « sans eux pas de vitesse tourne ».

« Similaire elle a été tout aussi éloquemment exprimée par le secrétaire général du Pôle emploi de Marseille, Ol. Mato, Lors du rassemblement de grève de mardi dernier, auquel participait également une délégation grecque du PAME, « les actionnaires n’apportent que des menaces lorsque le travailleur n’est pas sur son lieu de travail. Vous êtes nul ! »

Les travailleurs de notre pays et leurs syndicats sont unis dans cette vague de grèves à travers l’Europe : avec les importantes luttes menées dans tous les secteurs pour les salaires et les droits des travailleurs, avec la grève générale nationale du 9, une lutte commune pour que le peuple ne lutter pour la crise et payer les guerres des capitalistes.

GE (réédité de « Rizospastis »)

Onfroi Severin

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