Récemment, Citroën a dévoilé son nouveau logo qui, selon les recommandations, entreprendra de marquer une nouvelle ère que la marque française, qui dicte un design encore plus avant-gardiste aux côtés de la technologie électrique, présente désormais plus clairement ses designs à travers un concept-car certes original.
Oli, comme on l’appelle, se concentre sur l’efficacité, la légèreté et l’accessibilité en adoptant une approche de conception radicale, dont de nombreux éléments se retrouveront dans les modèles de production à l’avenir.
A la rigueur, le crossover presque irréel est décrit par les Français comme l’ancêtre d’un modèle de série. Plus importante encore que son apparence paradoxale est sa focalisation sur d’autres valeurs, car elle se veut un « contrepoids » aux valeurs modernes, ne pesant que 1 000 kg en utilisant des matériaux légers fabriqués à partir de matières premières recyclées et une logique « plus légère » et simplifiée par rapport aux valeurs modernes. Les véhicules électriques investissent dans des technologies qui augmentent leur poids mais aussi leur prix. De ce point de vue abordabilité, l’Oli utilise une batterie d’une capacité relativement faible de 40 kWh, qui, grâce à la logique du concept, assure une autonomie de 400 km.
Suivant le même modèle pionnier, de nombreux panneaux qui composent les surfaces extérieures, y compris les portes, les pare-chocs et l’auvent, peuvent être facilement retirés, ce qui rend leur remplacement beaucoup plus rapide et moins coûteux.
Certaines des parties non structurelles de la carrosserie sont même en carton cellulaire, nettement plus léger que l’acier (-50%), mais également suffisamment robuste pour l’usage auquel il est destiné. Oli utilise également des roues en acier à l’extérieur mais en aluminium à l’intérieur, offrant la résistance nécessaire tout en aidant à réduire le poids.
Le pare-brise quasi vertical a été conçu dans ce sens, car cette logique permet une réduction des coûts de fabrication tout en étant plus léger que les pare-brise standards sans compromettre l’aérodynamisme de l’ensemble. De plus, comme le note Citroën, l’Oli a été conçu comme un véhicule avec des spécifications et une orientation urbaines et non pour se déplacer dans des conditions d’autoroute où l’élément de conception spécifique aurait potentiellement un effet inhibiteur sur le flux d’air.
Il est également significatif que la vitesse maximale du concept-car soit fixée à 110 km.En termes de charge, la batterie de 40 kWh ne prend que 23 minutes pour reconstituer l’énergie de 20 à 80%, ce qui est un signe des technologies futures , qui seront intégrés dans les véhicules du groupe Stellantis et la nouvelle STLA Small Platform, qui bénéficiera d’un circuit de charge plus efficace.
Malgré son caractère urbain, Citroën a conçu l’Oli comme un véhicule polyvalent qui peut également être utilisé pour des excursions dans la nature et répondre à différents besoins. Le prototype français a une zone de chargement rappelant une camionnette, des rails de toit et divers supports à des fins différentes, tout en offrant également la possibilité de charger/alimenter des appareils externes via des connexions appropriées.
Comme l’Ami, l’Oli promet des possibilités de personnalisation avec une logique différente, car elles résident davantage dans des décalcomanies et des détails différents que des teintes et des couleurs, tandis que l’intérieur a la même ambiance abstraite avec des sièges dominants qui sont des produits imprimés en 3D, avec 80 % de pièces en moins. que les conventionnels.
Juste une série de commutateurs physiques et un système d’infodivertissement conçu pour fonctionner avec le smartphone du conducteur flottent autour du simple tableau de bord. Deux haut-parleurs Bluetooth amovibles aux extrémités du tableau de bord complètent le tableau, tandis que les portes arrière s’ouvrent vers l’arrière pour plus d’accessibilité.
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