Avec un Premier ministre, M. Gabriel Atal, désormais officiellement dissoute mais sans que personne d’autre ne prenne sa place, la France traverse une période d’acrobaties politiques sans précédent. Le président du pays Emmanuel Macron acceptera formellement la démission d’Atal, qui, à la suite des résultats des récentes élections législatives – a-t-on révélé – n’a pas pu continuer son mandat jusqu’à ce soir. Il restera cependant jusqu’à l’arrivée de son successeur et s’occupera des « affaires courantes ». Autrement dit, il y aura une situation temporaire qui ne peut être exclue avant quelques semaines, c’est-à-dire jusqu’à la fin des Jeux Olympiques de Paris, qui débutent dans 10 jours.
Quant à son remplaçant, qui, dans des circonstances normales, pourraient provenir du parti ayant le plus de sièges, à savoir le Nouveau Front populaire de gauche, le paysage est aujourd’hui encore trouble car les partis de gauche n’ont pas réussi à parvenir à un accord sous prétexte d’acceptation mutuelle. Une faiblesse qui prend peu à peu les dimensions d’une rupture, les partis de gauche arguant publiquement de l’impasse et se rejetant mutuellement la faute. Mais depuis hier soir, force est de constater que le Parti socialiste, les écologistes et le Parti communiste tendent à s’accorder sur la personne du professeur d’économie français Laurent Toubiana, qui, bien qu’il n’appartienne à aucun parti, a joué un rôle clé dans l’élaboration de l’Accord de Paris sur le climat de 2015 et de sa candidature. La candidature de la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon a sans doute été rejetée comme « peu sérieuse », au motif que seule une personnalité politique issue de leurs rangs pourrait mettre en œuvre le programme préélectoral du Front populaire. à la lettre, qui a une majorité relative, mais pas absolue.
Quant à la démission du gouvernement de Gabriel Atal, elle a été officiellement acceptée aujourd’hui pour deux raisons : d’une part, elle garantit que, s’agissant d’un gouvernement sous pression, aucune motion de censure ne pourra être déposée contre lui tant qu’il est encore en fonction. au pouvoir est. En revanche, en raison du caractère temporaire du gouvernement, les 17 ministres et députés élus ne sont pas obligés de renoncer à leurs sièges parlementaires et pourront donc y participer après-demain, jeudi. lors du vote décisif pour élire le nouveau président de l’Assemblée nationale française. Selon de nombreux analystes français, il s’agit d’une interprétation extrêmement poussée de la Constitution française, qui stipule expressément qu’un député qui devient ministre doit renoncer à son siège parlementaire.
Parallèlement, le président Macron a appelé les dirigeants de son groupe à œuvrer en faveur d’une large coopération multipartite qui permettrait à la France de devenir un gouvernement autonome. Certains de ces responsables ont déclaré publiquement qu’ils aimeraient voir le groupe de Macron travailler avec le parti traditionnel de droite en France, les Républicains, tandis que d’autres préfèrent travailler avec la gauche. L’élection prochaine du président de l’Assemblée nationale pourrait peut-être montrer où les choses vont. Car s’il n’y a pas de coopération entre la faction Macron et les Républicains, le Nouveau Front populaire de gauche pourrait remporter la présidence de l’instance. On suppose déjà que son candidat sera le président du groupe écologiste, Cyrille Satlen. Dans le cas contraire, non, car la somme des députés des deux factions est supérieure à la somme des députés des partis de gauche.
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Avec un Premier ministre, M. Gabriel Atal, désormais officiellement dissoute mais sans que personne d’autre ne prenne sa place, la France traverse une période d’acrobaties politiques sans précédent. Le président du pays Emmanuel Macron acceptera formellement la démission d’Atal, qui, à la suite des résultats des récentes élections législatives – a-t-on révélé – n’a pas pu continuer son mandat jusqu’à ce soir. Il restera cependant jusqu’à l’arrivée de son successeur et s’occupera des « affaires courantes ». Autrement dit, il y aura une situation temporaire qui ne peut être exclue avant quelques semaines, c’est-à-dire jusqu’à la fin des Jeux Olympiques de Paris, qui débutent dans 10 jours.
Quant à son remplaçant, qui, dans des circonstances normales, auraient pu provenir du parti ayant remporté le plus de sièges, à savoir le Nouveau Front populaire de gauche, le paysage est aujourd’hui encore trouble, les partis de gauche étant incapables de parvenir à un accord sous prétexte d’acceptation mutuelle. Une faiblesse qui prend peu à peu les dimensions d’une rupture, les partis de gauche arguant publiquement de l’impasse et se rejetant mutuellement la faute. Mais depuis hier soir, force est de constater que le Parti socialiste, les écologistes et le Parti communiste tendent à s’accorder sur la personne du professeur d’économie français Laurent Toubiana, qui, bien qu’il n’appartienne à aucun parti, a joué un rôle clé dans l’élaboration de l’Accord de Paris sur le climat de 2015 et de sa candidature. La candidature de la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon a sans doute été rejetée comme « peu sérieuse », au motif que seule une personnalité politique issue de leurs rangs pourrait mettre en œuvre le programme préélectoral du Front populaire. à la lettre, qui a une majorité relative, mais pas absolue.
Quant à la démission du gouvernement de Gabriel Atal, elle a été officiellement acceptée aujourd’hui pour deux raisons : d’une part, elle garantit que, s’agissant d’un gouvernement sous pression, aucune motion de censure ne pourra être déposée contre lui tant qu’il est encore en fonction. au bureau, c’est. En revanche, en raison du caractère temporaire du gouvernement, les 17 ministres et députés élus ne sont pas obligés de renoncer à leurs sièges parlementaires et pourront donc y participer après-demain, jeudi. lors du vote décisif pour élire le nouveau président de l’Assemblée nationale française. Selon de nombreux analystes français, il s’agit d’une interprétation extrêmement poussée de la Constitution française, qui stipule expressément qu’un député qui devient ministre doit renoncer à son siège parlementaire.
Parallèlement, le président Macron a appelé les dirigeants de son groupe à œuvrer en faveur d’une large coopération multipartite qui permettrait à la France de devenir un gouvernement autonome. Certains de ces responsables ont déclaré publiquement qu’ils aimeraient voir le groupe de Macron travailler avec le parti traditionnel de droite en France, les Républicains, tandis que d’autres préfèrent travailler avec la gauche. L’élection prochaine du président de l’Assemblée nationale pourrait peut-être montrer où les choses vont. Car s’il n’y a pas de coopération entre la faction Macron et les Républicains, le Nouveau Front populaire de gauche pourrait remporter la présidence de l’instance. On suppose déjà que son candidat sera le président du groupe écologiste, Cyrille Satlen. Dans le cas contraire, non, car la somme des députés des deux factions est supérieure à la somme des députés des partis de gauche.
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