Le milliardaire de 96 ans, Pierre Castel, a été reconnu coupable d’évasion fiscale en Suisse, où il vit en exil volontaire depuis des décennies. La décision du tribunal, seule catapulte, bien sûr, ne peut être caractérisée pour l’homme dont Le bien est valorisé entre 14,5 et 15,5 milliards d’euros et le montant de 422 millions d’euros est à récupérer.
Mais la façon dont il a échappé à l’impôt pendant au moins 30 ans pourrait, selon le tribunal suisse, ressembler à une comédie.
évasion fiscale
Pierre Castel a quitté la France après l’élection de François Mitterrand car, comme il le dit, « il a toujours eu peur des socialistes ».
En Suisse, cependant, il a choisi de remplir sa déclaration d’impôts avec seulement une partie de son nom.
Son nom complet est Pierre Jesus Sebastian Castel mais il a choisi de se produire sous le nom de Jesus Castel.
Selon les bureaux des comptes en Suisse, il a fallu plusieurs décennies avant qu’ils ne se rendent compte, comme le rapporte le magazine Le Point, que le président milliardaire de Cassiopée et patriarcheLe patron d’un empire de 215 entreprises dans 40 pays est le même homme que Jesús Castel, qui bien sûr n’a pas déclaré toute sa fortune dans sa déclaration d’impôts.
Au fil des ans, Pierre Jesús Sébastien Castel a donné des interviews à la tête de l’empire des boissons et a été invité à l’hommage du magazine chaque année bilan au Les 300 personnes les plus riches de Suisse. Castel et sa famille sont toujours dans le top 20.
Les boutiques de Castel
Au cours de l’enquête, les représentants de Castel ont reconnu avoir omis « certains éléments » de ses revenus et de son patrimoine entre 2007 et 2011, selon le jugement. Ils ont dit qu’il était difficile de trouver des documents « utiles » car Castel pratiquait la « vieille » gestion avec des poignées de main et des discussions verbales.
Le tribunal a conclu qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour retirer Castel en tant que bénéficiaire d’une société holding qui versait des dividendes aux membres de la famille et qu’il ne contrôlait pas la société de boissons.
Selon les médias français, Castel est l’exilé fiscal le plus riche du pays depuis qu’il s’est installé en Suisse en 1981 après l’élection du président socialiste François Mitterrand.
Lui et ses proches ont construit la fortune d’une petite boutique à Bordeaux à l’une des plus grandes sociétés de négoce de vin en Europe et des brasseries en Afrique.
Le milliardaire Castel, dont le nom apparaît également dans les Pandora Papers, a vu ses entreprises accusées de transactions « louches » dans le passé, tandis que la structure de plus de 200 filiales, chacune dirigée par des membres de la famille différents, rendait la tâche difficile aux autorités d’audit.
En France, les autorités terroristes enquêtent sur Castel pour faute criminelle dans son usine en République centrafricaine.
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