La guerre en Ukraine a fourni des réponses à certaines questions sur la conduite d’opérations modernes
« La France teste l’AVATAR domestique, un mini-drone armé de HK416 »est le titre Article d’un média bulgare respecté sur les questions de défense, les points principaux sont les suivants :
« La Direction générale de l’armement (DGA) a lancé les essais du mini-drone AVATAR. Une photo publiée via le compte officiel de la DGA sur Twitter montre le drone armé du fusil HK416.
AVATAR est un projet porté par la DGA Techniques Terrestres et développé pour les besoins du Ministère de la Défense. A l’avenir, ce drone sera utile aux commandos français en combat en conditions urbaines ou en opérations spéciales.
Il n’y a pas encore d’informations officielles sur l’état d’avancement des tests, mais les déclarations de certains officiers français indiquent qu’ils en sont aux premiers stades. Jusqu’à présent, les Français ont réussi à attacher le fusil d’assaut au drone. Le souhait du ministère français de la Défense est qu’à l’avenir, AVATAR puisse atteindre des cibles à une distance de 100 à 150 mètres.
Selon le patron de la DGA Les tests de munitions réelles commenceront à la fin de cette année et au début de l’année prochaine.
Ce n’est pas la première tentative des Français de se développer dans le domaine des drones armés avec des équipements militaires. Il y a des années, par exemple, le drone chinois le plus vendu de DJI, le Matrix 600, a été testé dans une configuration similaire. Cependant, les experts français ne sont pas parvenus à obtenir le résultat souhaité.
La DGA rapporte que malgré les tests, l’AVATAR est toujours aux prises avec la stabilité du canon sur le drone. Il reste un autre problème à résoudre, le recul du fusil lors du tir.
Cependant, AVATAR est conçu pour transporter plus de 6 kg de fret supplémentaire, ce qui est la limite du DJI civil chinois Matrix 600. Cela donnera aux Français des capacités opérationnelles supplémentaires. La France étudie différentes manières d’augmenter la capacité de combat de son armée.
Enfin, la guerre en Ukraine a répondu à de nombreuses questions et révélé des usages insoupçonnés des drones.
Par exemple, le ministère français de la Défense prévoit de développer ou d’acheter des drones kamikazes, des munitions mobiles comme le Switchblade.
Il y a encore quelques mois, il n’y avait même pas de mini-drones en France. Cependant, la sortie d’AVATAR est un pas en avant. Certes, la DGA travaille sur des projets dont nous n’avons pas encore entendu parler.
La révolution de la technologie militaire centrée sur les drones
Depuis au moins huit ans, nous assistons à une révolution « idiosyncratique » dans les affaires militaires centrée sur les drones. Les États essaient maintenant de minimiser les pertes de personnes amies sur le champ de bataille en achetant ou en fabriquant des systèmes d’armes appropriés.
Tout d’abord, des systèmes d’armes à longue portée, de haute précision et meurtriers ont été développés, qui ont adopté la tendance à frapper l’ennemi à distance (stand-off). De cette façon, le personnel ami reste en dehors de l’engagement étroit avec l’ennemi, qui a toujours été un multiplicateur de pertes.
Ensuite, la considération ci-dessus de la guerre est passée à un autre niveau, plus sûr pour le personnel ami. La guerre « avec des représentants mécaniques » a été acceptée comme justification.
Ce sont des robots et des UAV-UCV. Ainsi, l’homme a « fui » le champ de bataille et s’est retrouvé à plusieurs kilomètres dans une position sûre pour lui.
La guerre moderne est désormais entrée dans une « dimension technologique » et a adopté de nouvelles doctrines, mais dont le dénominateur commun est la capacité de survie des personnels amis.
De plus en plus de pays adoptent les concepts de guerre mentionnés ci-dessus.
La Turquie, qui représente également la plus grande menace pour l’hellénisme, a fait des progrès significatifs dans le domaine des drones, appliquant sa propre doctrine de mener avec succès des opérations militaires dans le nord de l’Irak, la Syrie, la Libye et le Haut-Karabakh.
La position de la Grèce
La Grèce a « perdu derrière » la Turquie dans ce domaine particulier. Cependant, le fait qu’elle soit alliée à l’US-Israël-France et appartienne à l’UE (Pesco) lui donne l’opportunité, si elle le peut rapidement, de regagner le terrain perdu avec la Turquie.
L’alliance Grèce-France, bien connue de tous les Grecs, reste à examiner dans le domaine des drones, car le nouveau drone français AVATAR devrait intéresser après son développement à l’export.
Il est particulièrement important pour notre pays que le ministère français de la Défense envisage de développer ou d’acheter des drones kamikazes et des munitions de marche comme le Switchblade.
Résultats-Conclusions
Avec sa multitude d’îles, d’îles intermédiaires, de micro-îles et d’îlots dans la mer Égée, la Grèce doit disposer d’une variété de systèmes d’armes très précis et meurtriers pour résister à l’agression turque.
Les drones Kamikaze, en plus des caractéristiques ci-dessus, ont comme avantages supplémentaires le faible coût de construction et la possibilité de rejoindre la défense pallaique comme leurs opérateurs, les combattants après une courte formation et notre population civile en mer Egée.
En d’autres termes, UAV Kamikaze sera capable de gérer même des civils masculins et féminins après une formation active de l’armée et du TEA.
Dans quel autre cas, par exemple, un homme ou une femme de 65 ou 15 ans vivant sur l’une de nos îles de la mer Egée, en dehors de celui d’un opérateur de drone kamikaze, serait capable de tuer ou de blesser une élite ? Marines ou commandos turcs et même d’un seul coup ?
Il est également considéré comme impératif que la Grèce ajoute des onduleurs navals à son arsenal. Imaginons l’image où des drones et des USV sont lancés en masse contre des vedettes rapides pleines de marines turcs qui sont sur le point de se diriger vers la côte d’une de nos îles. Les résultats seront dévastateurs, tant en termes de pertes que de moral des attaquants turcs.
Nous devons également être conscients que les UAV – USV ci-dessus nous donnent la possibilité, selon la portée, d’attaquer des cibles militaires et non militaires, à la fois sur la côte de l’Asie Mineure et à l’intérieur de la Turquie.
En conclusion, nous notons la nécessité pour notre pays de se doter immédiatement de drones, de drones USV, afin de fermer les «ciseaux» qui existent dans la zone en question avec la Turquie, qui a prouvé qu’elle était capable de la sortie d’une détermination décisive rencontres militaires.
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