« Notre pays a plus d’alliés puisqu’il a signé des dizaines d’accords de coopération. Avec des pays de l’ouest et de l’Afrique à l’Asie et au monde arabe. Et parmi eux, bien sûr, des conditions défensives stratégiques. Avec les plus importants avec la France et les USA », a-t-il dit Kyriacus Mitsotakis.
« Un mot grec qui condense toute la puissance de notre nation répond aux menaces au-delà de la mer Égée : Non, monsieur Erdogan », a-t-il souligné et dit dans un discours répugnant au style sévère :
« Et pour le dire dans la langue qu’il comprend probablement le mieux : ‘Le joug Dailiki avec la Grèce' ».
« Nous avons promis et nous avons une patrie fière. Plus grand après avoir étendu ses eaux territoriales à 12 miles dans la mer Ionienne. Nous avons des alliances, des accords dont les plus importants sont avec les États-Unis et la France. Notre bouclier diplomatique accompagne également la lance de la dissuasion nationale. J’avais annoncé les Rafales, les premiers à voler dans le ciel grec. Les deux premières frégates Belh@rra seront construites en France », a-t-il ajouté, évoquant des questions de défense.
« La Grèce veut des frontières intouchables et sûres. Les 3 000 nouveaux agents frontaliers et portuaires, les 32 nouveaux bateaux, la clôture sur l’Evros sont tous concernés. Grâce à eux, le flux de migrants vers l’Europe a diminué, les migrants vivent dans des conditions décentes. Pour le crescendo provocateur de la Turquie, je dis que notre réponse est notre respect du droit international. Pour que les voisins arrêtent les incroyables feux d’artifice. Nous n’avons pas peur », a souligné le Premier ministre.
« Organisateur incurable. Joueur. Étudiant. Passionné de Twitter. Geek des voyages. Totalement introverti. Nerd de la musique. »