Par Dimitris Gatsiou
Le gouvernement est déterminé à poursuivre sur la voie qu’il a empruntée en matière de taxation des travailleurs autonomes. Après la dernière réunion du Cabinet, au cours de laquelle le Premier ministre a souligné que la boussole du Palais Maxim pointe clairement vers des réformes spécifiques incluses dans la feuille de route présentée à l’Exposition internationale de Thessalonique, les responsables gouvernementaux parlent d’une intervention en plusieurs étapes, qui suit la logique d’autres Pays européens comme la France et l’Italie.
Dans le même temps, ils soulignent que l’objectif ultime de l’écosystème « bleu », en luttant contre l’évasion fiscale, est d’augmenter les dépenses d’éducation et de santé, le but ultime étant une nouvelle réduction des taux d’imposition.
« Intervention modérée et équilibrée »
Face aux réactions suscitées par les actions du gouvernement, Kyriakos Mitsotakis lui-même a décidé de consacrer une partie importante de son message publié dimanche sur les réseaux sociaux à mettre en évidence les aspects de la perspective du gouvernement dans le domaine de la fiscalité des indépendants.
« Notre propre gouvernement croit fermement que les impôts doivent être stables, appropriés et équitables. Nous l’avons prouvé en réduisant jusqu’à présent au moins 50 impôts, ce qui a grandement aidé l’économie et le travail. Dans le même temps, nous sommes fermement opposés à la justice fiscale et à la lutte fiscale. » L’évasion fiscale pour deux raisons : premièrement, parce qu’elle les prive de revenus importants pour l’augmentation nécessaire des dépenses publiques en matière de santé publique, d’éducation et de sécurité, et deuxièmement parce qu’elle représente un défi social pour environ 500 000 indépendants qui doivent dénoncer leur évasion fiscale. « Le revenu annuel doit être inférieur à celui du salarié percevant le Smic. Notre intervention est tout à fait mesurée et équilibrée, sans imposer aucune fiscalité supplémentaire, tout en prévoyant toutes les exonérations nécessaires pour les jeunes indépendants, les personnes handicapées et les habitants des petites communes », note le Premier ministre.
Dans le même temps, et en réponse aux objections des partis d’opposition selon lesquelles le nouveau système choisi et promu par le gouvernement impose des charges excessives et injustifiées aux professionnels, les dirigeants commentent que seuls ceux qui veulent caresser les oreilles de ceux qui font systématiquement travailler les fraudeurs fiscaux peut recourir à de telles réclamations.
« Selon les données officielles, 71 % des indépendants déclarent des revenus inférieurs au SMIC, tandis que 4 % de cette catégorie de contribuables paient 50 % des impôts. Avec la mise en œuvre de la réforme, sur un total de 735 320 indépendants, 138 000 bénéficieront d’un allègement fiscal d’un montant moyen de 560 € par personne, 124 000 ne bénéficieront d’aucune charge ni allègement et 473 000 paieront plus d’impôts, soit une moyenne de 1 444 € par personne. personne. Ceux qui restent les mêmes n’ont donc aucun impact ni bénéfice de la réduction. « Ceux qui ont déclaré moins que cela. » « Le salaire minimum est facturé en moyenne à 1.444 euros par an », affirment les représentants du gouvernement.
Avec la remarque du Premier ministre selon laquelle les efforts de Megaros Maximos et du personnel financier visent à… fermer les fenêtres qui favorisent quelques-uns au détriment du plus grand nombre, Kyriakos reste clairement à l’avant-garde de l’argumentation « bleue » que Mitsotakis s’est empressé de faire. répétons que l’argent provenant de la révélation de l’évasion fiscale constitue une richesse publique.
« Ils retourneront dans la société. Pour une meilleure santé, plus de dépenses dans l’éducation, une sécurité publique et une défense plus efficaces, plus de soutien aux jeunes familles », tel est le signal du Premier ministre.
« Twitter lover. Congenial writer. Award-winning thinker. Hardcore food fanatic. Lover of animals everywhere. Incurable analyst. »