L’Assemblée nationale française a adopté une loi permettant à la police du pays de suivre les suspects en activant les caméras, les microphones et le GPS sur leurs téléphones et autres appareils. La mesure serait limitée aux seuls cas graves et pour une durée maximale de six mois, tandis que la surveillance des journalistes, avocats et autres « professions sensibles » serait interdite.
Comme on pouvait s’y attendre, le projet de loi a provoqué des réactions d’organisations protégeant les libertés sociales. Parce que le projet de loi n’énonce pas clairement ce qui constitue un « cas grave », on craint que le gouvernement ne l’utilise pour cibler des militants, tout en soulignant que la politique de sécurité a tendance à s’étendre aux crimes moins graves. Un exemple est l’enregistrement génétique, qui ne s’appliquait initialement qu’aux délinquants sexuels, mais qui est maintenant répandu.
Il souligne également que la police exploitera activement les vulnérabilités plutôt que de dire aux fabricants comment résoudre le problème.
Le procureur général Eric Dupond-Moretti a affirmé que le nouveau système, utilisé sur seulement quelques dizaines de cas par an, sauve des vies et est loin de la surveillance gouvernementale du « 1984 » d’Orwell.
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