Pour les derniers développements des relations gréco-turques a parlé à ERT et à l’émission From the Six, costas yfantis, Le professeur d’études internationales et européennes à l’Université Panteion analyse ce qu’il attend de la visite demain du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à Ankara.
« La Russie a besoin de tous ceux qui peuvent riposter », a déclaré Yfantis.
Parlant des gains possibles de la Turquie à partir de sa position sur la guerre en Ukraine, le professeur d’études internationales et européennes a souligné qu’il essayait d’agir en tant que médiateur possible dans la crise. « Aux yeux de personne en Occident, la Turquie n’est présentée comme un facteur qui peut aider à résoudre la guerre, et elle ne gagne pas plus que d’autres pays comme la Grèce qui ont adopté une position claire », a-t-il déclaré.
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Analyse de l’attitude des pays de l’UE et de l’OTAN face aux défis turcs au détriment de la Grèce, M. Yfantis a souligné que « presque tous les pays qui ont un rôle à jouer ont pris position ».. « Et comme l’Allemagne l’a souligné, la France et les États-Unis ont clairement pris position en faveur de la souveraineté grecque bien plus que par le passé. »
Mais il a ajouté que « Nous ne devrions pas être surpris de voir des déclarations exhortant les deux pays à régler pacifiquement leurs différends. « Mais tant que la Turquie soulèvera de telles questions, la position et l’attitude des autres États seront claires. »
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Répondant à la façon dont ce soutien diplomatique se traduit par le scénario malheureux d’une crise qui s’installe, il a déclaré : « Nous verrons cela »… et a exprimé l’avis que « la diplomatie et la politique mises à part, nous ne sommes pas tout à fait seuls si le champ soit » .
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